- La précarisation du travail et du chômage,
- La volonté d’exclure des chômeurs dans leurs droits à l’indemnisation.
- Être hors des concertations qui amènent à la loi et cette réforme (la CGS qui se substitue aux cotisations sociales.
- Inquiétude renforcée par le fait qu’un représentant de Pôle Emploi n’ait que le seul pouvoir d’appliquer. Les coordinations considèrent que le travail de concertation (État, Pôle Emploi sans les partenaires sociaux) démontre d’une incapacité à répondre aux nécessités des « chômeurs/chômeuses ». Cela ne vient que renforcer un système d’exclusion et de discrimination du chômeur. Le chômage précarisé conduit à un une précarisation du travail.
Au-delà du sujet lié à la réforme, ils entendent maintenir le principe de souveraineté.
Les coordinations souhaitent être inclues dans les concertations, afin de ne pas être « mangé » par un décret. Nous souhaitons un rendez-vous avec les représentants de l’État en charge de cette réforme."