Nous étions une trentaine. C'est très bien vu l'accès sans métro.
Il y avait des nouveaux et nous avons donc de nouveau expliqué les enjeux de cette mobilisation.
Les gens ne s'imaginent pas à quel point notre régime est en voie de disparition.
Nous allons devoir nous inscrire dans la durée car il n'y a pas de calendrier annoncé par le ministère du travail : à nous de l'imposer et de le décider !
Edouard Philippe annonce des décisions "au printemps" et un décret "pendant l'été" ; Muriel Pénicaud va peut-être laisser passer l'été et les festivals.
On a fait un point sur les actions qui se sont bien déroulés et sur notre mobilisation.
Nous sommes le fer de lance au niveau national sur notre secteur. Bref il faut continuer la pression par des actions régulières.
Pleins d'autres sujets on été évoqués, comme le droit à la formation mis à mal, nos conditions de travail difficiles et qui se détériorent depuis 15 ans...
Des actions à faire :
- il est primordial d'en parler autour de nous. Mobiliser les collègues de boulot. Se servir du tract comme base de mobilisation
puis ne pas hésiter à se servir des outils que nous vous envoyons : vidéo pédagogique + tract explicatif dessiné (envoyé séparément)
Si vous avez connaissance d'un nouvel outil, transmettez le nous.
sur ce sujet, William qui travaille sur des outils d'éducation populaire nous signale qu'un RdV "Comment mobiliser ses collègues à la lutte" à la Bourse du travail samedi 23/03 à 9h30.
- il faut être en lien avec les assos ou collectifs de chômeurs et précaires : présence à l'AG de 3 personnes de ce collectif. Ils se sont inscrits dans la boucle d'infos pour participer à nos actions.
- Jean-Max a rencontré les gilets roses (assistant.es maternelles/familiales touché.e.s par la réforme entant qu'emplois précaires)
But mettre du lien et grossir nos actions communes notamment en direction du ministère du travail. - Bruno dit la nécessité quand il y a une action de faite de s'exprimer collectivement immédiatement après pour en tirer le bilan ("rateau et "pépite" pour le - et le +) afin de faire circuler la parole et d'améliorer la prochaine action.
A ce sujet, intervention d'une interluttante soulignant le besoin et la nécessité d'une parole non violente entre nous ou en référence aux actions. Cela n'est pas nécessaire et pourrait repousser certain.e.s. d'entrer dans la lutte.
Il est rappelé que le nom: "Commission bourrin" est une plaisanterie en référence à Avignon 2014, c'est une commission très sérieuse et respectueuse.
Plusieurs types d'actions : manifs (où il faut être visibles), occupations ou "occuPASSIONs" (courtes ou longues), interventions lues lors d'un événement culturel (comme ce qui a été fait la semaine dernière à la Maison de la Photographie), actions visuelles en ville avec tractage autour...
Mise en place des commissions, dont voici la liste :
- Une commission action (Référent Maxime)
- Une sous-commission action "visuelle-poétique" a vu le jour (Référente Catherine Gosse)
- Une commission banderoles (Référent Jérôme)
- Une commission communication. (Référente Nathalie)
- Une commission tract (Référents Pierre, Lucie, Anne)
- Une commission décryptage (Référent Thierry)
Toutes les commissions sont ouvertes !
(Contact Maxime Séchaud -en MP- qui vous mettra en relation)
La nouvelle commission "action poétique" permet d'imaginer des actions plus visuelles (presse et public sont plus touchés par cela) et permet à toutes et tous de s'exprimer et de s'inscrire dans la lutte.
