27 mars 2014

ASSEMBLÉE GÉNÉRALE LE 31 MARS 2014

Chers Inter-Luttants,
Vous n'êtes pas sans savoir que la Lutte est plus que jamais nécessaire si nous souhaitons conserver nos emplois et considérer la Culture comme clé de voûte de notre société.
Pour cela, nous organisons le Lundi 31 Mars 2014 à 12:00 au Théâtre de la Verrière, une Assemblée Générale. Celle ci aura pour but de:
  • Tenter de comprendre ce qu'il s'est réellement passé
  • Mesurer les répercussions directes de cet accord avec l'Unedic
  • Informer au mieux par le biais des renseignements fournis par les autres délégations, régionales et nationales
  • et enfin, d'organiser notre résistance.
Nous vous attendons lundi prochain.
Bien à vous chers Inter-Luttants.

25 mars 2014

PÉTITION CONTRE L'ACCORD UNEDIC DU 21 MARS

nouvelle pétition, en ligne depuis hier, 

7000 signataires en 24 heures !


Non à l'agrément de l'accord UNEDIC signé dans la nuit du vendredi 21 mars


http://www.change.org/fr/pétitions/monsieur-le-ministre-du-travail-non-à-l-agrément-de-l-accord-unedic-signé-dans-la-nuit-du-vendredi-21-mars

AG du 24 mars / LETTRE OUVERTE À MME LA MINISTRE DE LA CULTURE


Bref compte-rendu de l'AG de Lille du lundi 24 mars à la Verrière.


Peu de personnes présentes, une vingtaine, mais nous n'avons pas eu le temps nécessaire pour informer correctement de la tenue de cette AG (qui n'a été annoncée qu'hier dimanche).

Après avoir fait le point sur la situation et vu ensemble le contenu et les conséquences de l'accord, qui est unanimement dénoncé, nous appelons à une action nationale et une journée "culture morte".

Nous avons évoqué la possibilité d'organiser des assises de l'intermittence et de l'emploi précaire pendant le festival de Cannes (et si possible dans cette ville) pour reprendre l'initiative suite à l'article 5c de l'accord. Cette action doit mener à une réforme des annexes sur les bases des propositions du comité de suivi. Cette proposition ne doit pas être considérée comme un agrément du texte qui est totalement inacceptable.

L'AG n'a pas décidé de date de manifestation ou d'action. Il nous semble important de conserver une mobilisation nationale au mouvement.

En attendant une action, un groupe de travail a été chargé par l'AG de réaliser un communiqué. Il a été choisi de prendre la forme d'une lettre ouverte à la Ministre de la Culture, laquelle se félicitait de la sauvegarde des annexes suite à l'accord UNEDIC. Voici le texte de la lettre qui sera publiée officiellement ce mardi.


"Lettre ouverte à Mme la Ministre de la Culture


Les intermittents de la Région NPDC en lutte (SFA/CGT, SYNAVI, coordination, représentants des chômeurs et précaires, non syndiqués) 

à

Madame la Ministre de la Culture et de la communication,

Non, contrairement à vos dernières déclarations, le régime d'indemnisation des intermittents du spectacle n'a pas été sauvegardé. S'il semble avoir été relativement épargné par rapport aux autres catégories de travailleurs, c'est avant tout grâce à la forte mobilisation des professionnels du spectacle vivant et de l'audiovisuel. 

Aujourd'hui, nous sommes en colère. Ces négociations UNEDIC ont été une mascarade et le MEDEF impose sa loi. Vous vous félicitez du maintien de nos annexes, mais l'accord impose une régression des droits des intermittents, des intérimaires et d'une manière générale de tous les salariés. Aujourd'hui, il est question de faire des économies sur le dos des chômeurs et demain il s'agira de casser le principe même de la solidarité interprofessionnelle sur lequel repose l'UNEDIC.

L'augmentation des cotisations chômage de 10,8% à 13,3% aura des conséquences directes sur l'emploi pour l'ensemble des structures de créations. Fragiliser l'emploi, c'est fragiliser l'emploi des intermittents mais aussi celui des permanents. Le MEDEF se réjouit que les employeurs n'ont pas eu à participer financièrement à l'effort de redressement de l'UNEDIC, mais il a «oublié» que dans nos secteurs socio-professionnels, les cotisations augmentent.

La baisse constante des crédits pour la culture et les arts vivants ne permettra pas de compenser les augmentations de charges. C'est tout notre secteur d'activité qui est en cause. Indépendamment de la question sociale qui pour nous n'est pas résolue, se pose impérativement celle du financement de la culture.

Isolé du reste de nos propositions, le plafonnement du cumul indemnité salaires à 5475 € brut ne permettra que des économies dérisoires et ne concerne en rien la quasi totalité des intermittents dont le revenu mensuel moyen est inférieur à 2 000 € brut. Aucune économie ne sera réalisable si on conserve le principe du «glissement». 

La nouvelle formule du différé d'indemnisation pénalise proportionnellement les plus précaires en créant ou en augmentant le délai de carence pour les salaires les plus bas tout en lissant celui des salariés les mieux payés. Par ce dispositif, un intermittent peut être privé de toute ressource pendant plusieurs semaines, voire plusieurs mois.

Les propositions du comité de suivi sont pour nous la base intangible que le Ministère du travail doit prendre en compte bien avant décembre 2014 : 

- le retour à la date anniversaire (période de 12 mois) avec maintien des 507 heures et l'abandon de la période glissante

- la fusion des annexes 8 et 10 en une annexe unique pour les artistes et les techniciens

- le plafonnement des indemnités sur la base d'un plafond des revenus (salaires+indemnités)

- une meilleure prise en compte des arrêts maladie et des congés maternité

- une meilleure intégration des heures régime général et notamment des heures d'enseignement.

Les propositions du comité de suivi permettent de réaliser la réforme nécessaire et urgente de l'intermittence, ce qui est la feuille de route que les partenaires sociaux ont donné à l'Etat dans le point 5c de l'accord UNEDIC.

Les économies ne peuvent reposer sur l'exclusion et les injustices. Devant la gravité des conséquences de l'accord UNEDIC, nous demandons qu'une réflexion soit également menée de toute urgence sur la base de nos propositions pour l'ensemble des travailleurs précaires.

L'accord UNEDIC marque un recul sans précédent du droit du travail. La norme du code du travail qui était jusqu'alors l'emploi stable, et qui faisait des régimes spécifiques des intérimaires et des intermittents une exception, devient, par le dévoiement du principe des droits rechargeables la précarité généralisée des travailleurs.

Ce que nous défendons, nous le défendons pour tous."

24 mars 2014

COMMUNIQUE DU SYNAVI / 24 mars 2014


COMMUNIQUE DU SYNAVI 

SYNDICAT NATIONAL DES ARTS VIVANTS


INACCEPTABLE !
NON à l'accord scélérat sur l'assurance chômage

Le MEDEF impose sa loi : aujourd’hui faire des économies sur le dos des chômeurs et demain casser le principe de la solidarité interprofessionnelle.
Les droits rechargeables augmentent encore les inégalités et confirment le glissement vers un système de capitalisation où les plus précaires sont les premiers exclus.
Grâce à une forte mobilisation de l'ensemble du secteur du spectacle et de l'audiovisuel, le MEDEF n'a pas pu, comme il l'avait promis, supprimer totalement les annexes 8 et 10. Les intermittents ne subiront pas immédiatement le sort des intérimaires qui ont perdu la reconnaissance de droits sociaux liés à leurs conditions d'emplois spécifiques.

NE VOUS FIEZ PAS AUX APPARENCES !

1)      L'augmentation des cotisations chômage de 10,80 à 13,30 % aura des conséquences directes sur l'emploi pour l'ensemble des structures de création. La baisse constante des crédits pour la culture et les arts vivants ne leur permettra pas de compenser les augmentations de charges. C'est toute la dynamique de la filière qui est en cause.
Ils font payer leur crise aux chômeurs !

2)      Le plafonnement du cumul indemnités-salaires à 5 475 € bruts ne permettra que des économies marginales et n'aide en rien la grande majorité des intermittents dont les revenus mensuels moyens sont inférieurs à 2000 € brut !
Ils protègent les plus riches !

3)      La nouvelle formule du différé d'indemnisation pénalise là encore les plus pauvres en augmentant la carence pour les salaires les plus bas, alors qu'elle se réduit pour les plus hauts. Plus on touche moins on est pénalisé.
C'est la logique libérale qui prévaut sur la solidarité !

4)      À aucun moment les propositions émises par le comité de suivi, élaborées depuis 10 ans, soutenues par des parlementaires de tous bords, étudiées en commission à l'Assemblée nationale et proposées par la ministre de la Culture comme des éléments important à prendre en considération, n’ont été discutées.
Ce système de dialogue et de représentation sociale est un déni de démocratie.
Le système de gestion de l'UNEDIC doit être refondé de fond en comble !

5)       Seul le terme générique des annexes 8 et 10 a été « sauvegardé » ! Les signataires de l'accord demandent à l'Etat d'ouvrir une «concertation» avec les représentants des salariés et des employeurs du secteur pour  « lutter contre la précarité ». Comble du cynisme ! Comment ne pas voir dans cette proposition le projet du Medef et de la CFDT de sortir les intermittents du spectacle de la solidarité interprofessionnelle ?
Rien n’est sauvegardé : tout est à rejeter !

Ce mauvais accord est une impasse : il n'aboutira qu'à l'accroissement de la précarité et des difficultés rencontrées par les plus pauvres, salariés et entreprises.

Face à tant de cynisme, intermittents du spectacle, entreprises culturelles et citoyens doivent plus que jamais faire front et s’opposer à une politique d’austérité qui ne débouche que dans l’impasse de la misère.

Le SYNAVI défend la concertation et la co-construction des politiques publiques sur des valeurs qui n'ont rien à voir avec la mascarade ubuesque de ces négociations soit disant  paritaires.
Il réaffirme que seule la prise en compte des propositions du Comité de suivi permettra la mise en place d'un dispositif équitable pour les salariés intermittents et une amélioration du déficit de l'UNEDIC.

Le SYNAVI
appelle l'ensemble de ses adhérents, structures de création et lieux de diffusion indépendants, à rester mobilisés.

 Il demande au gouvernement de ne pas agréer cet accord et d'établir de nouvelles conditions de négociations justes, équitables et représentatives.



                                                                Lyon, le 24 mars 2014



Vous trouverez ici le communiqué du Syndéac, syndicat national des entreprises artistiques et culturelles :

http://www.syndeac.org/index.php/communiques-publics/1884-annexes-sauvees-reforme-ratee-communique-du-24-mars-2014

23 mars 2014

COLÈRE ET DÉTERMINATION

COMMUNIQUÉ DU COLLECTIF DU 22 MARS

Après un mois de lutte, de manifestations, d'occupations, de travail de pédagogie et de conviction, nous avons pris connaissance hier soir, au Carreau du Temple, sonné et abasourdi, de la teneur de l'accord que vont signer la CFDT, la CFTC et FO avec les délégations patronales.

Si les annexes 8 et 10 paraissent « maintenues et sauvées » ce n'est qu’en apparence et il faut bien comprendre que l'attaque est d'autant plus sévère et dangereuse qu'elle est indirecte et semble maintenir « l’essentiel ».

En fait de maintien, on proroge le dispositif de 2003 en aggravant ses pires travers !

Notre constat est simple et clair: Colère et détermination.

Le dispositif de différé d’indemnisation permettra à l'Unedic de faire des économies mais, d'après nos premières estimations, uniquement sur le dos des petites indemnisations. De plus, elle rajoute encore du glissement à du glissement… 

C'
est une vraie patinoire où nous allons être nombreux à y laisser des dents.

Le nouveau plafond de cumul Indemnisation/Salaires fixé à 5.475,75 euros est un faux semblant dérisoire. Dérisoire, car l'économie réalisée sera de 23 millions sur 1,3 Milliard d'euros de dépenses. Un faux-semblant car, sans date anniversaire fixe, le plafond ne fait que décaler le versement du capital de droits dans le temps.

Enfin, et c'est bien là le pire, la hausse des cotisations chômage de 2,5 point sera dévastatrice.

En augmentant les cotisations chômages jusqu'à 13,3%, contre 6,4% pour les salariés du régime général (sans compter tous les dispositifs de baisse et d'exonération de charges dont bénéficient bon nombre d'entreprises), ce n'est pas seulement le salaire net des salariés qui va être rogné, c'est toute l'activité du secteur qui dépend de l'emploi intermittent qui va être brutalement et durablement fragilisés. Comment imaginer en effet qu'avec des cotisations plus que doublées, le modèle économique du spectacle vivant et des entreprises culturelles ne soient profondément ébranlé et mis à mal?

Sachez-le : à ce jeu-là, il y aura des morts, et ils seront nombreux.

Bien entendu, les petites structures, lieux et compagnies, seront touchées de plein fouet. Et il ne faut pas compter sur l'aide de l'état lorsque dans le même temps on nous annonce des baisse de 20% des budgets consacrés à la création au cours des trois prochaines années.

Mais ce ne seront pas là les seuls effets. Cette hausse va favoriser comme jamais le recours au travail non déclaré. Comment imaginer qu'une hausse du coût du salaire de cette ampleur pourra être absorbé par des compagnies et des structures d'ores-et-déjà exsangue, sans engendrer des coups de canifs et des entorses aux droits des salariés…

Nous allons voir fleurir les propositions de travail sous le statut d'auto-entrepreneur.Cette seule mesure va favoriser une attaque majeure contre le fondement de nos droits sociaux en tant qu'artiste, technicien ou personnel administratif intermittent, c'est à dire la présomption de salariat !

Enfin, la hausse des cotisation va favoriser encore plus les délocalisations d'activité, que ce soit pour les studios d'enregistrement de musique, de publicité, de doublage ou de post-production, ou bien encore pour les tournages cinéma et télévisuels, gourmands en figurants et nécessitants des décors et costumes importants.

Nous serons soumis, aussi bien au niveau individuel qu'au niveau collectif à de pressions sans précédents, pour accepter des conditions d'emplois indignes et pour nous forcer à signer des accords collectifs indécents.


On baissera nos salaireson rognera nos droits sociauxon magouillera sur les heures déclarées, le tout, sous menace de délocalisation de l'activité en Belgique, en Espagne, au Maroc, en Tunisie, en République tchèque, en Afrique du Sud…

Alors, oui ! COLÈRE ET DÉTERMINATION ! 
Ces négociations ont été un déni de démocratie sociale. Elles se sont déroulées dans les corridors et les arrières salles du Medef, mais pas à une seule minute dans la salle de négociation, au vu et su de tous les intervenants. Ces arrangements de cabinet sont indignes de l'enjeu d'une négociation, censée assurer la pérennité et la rénovation du financement de l'assurance chômage, alors même que celui-ci est historiquement haut et que la précarité use, cogne et assomme de plus en plus de personnes chaque jour.

COLÈRE ET DÉTERMINATION !  Car le ministre du travail et la ministre de la culture n'ont pas attendu 24h pour se féliciter d'un accord et propager l'idée que nous aurions été «sauvés » même au prix de « quelques efforts consentis »…

COLÈRE ET DÉTERMINATION ! Car la presse explique déjà que « l'essentiel est sauvegardé »…

COLÈRE ET DÉTERMINATION ! Car malgré un travail de fond, engagé depuis plus de dix ans, malgré les propositions élaborées par le comité de suivi, validées tout à la fois par des syndicats de salariés, des organisations patronales du secteur, le mouvement associatif et des parlementaires de tous bords, malgré le travail de la commission parlementaire de Christian Kert et Jean-Patrick Gille, malgré le rapport de Mathieu Grégoire et d'Olivier Pilmis, nous avons eu le sentiment, hier soir, que nous faisions du surplace.

COLÈRE ET DÉTERMINATION ! D'avoir eu à subir la morgue et le mépris d'organisations patronales et syndicales dont l'incompétence sur ce sujet et la méconnaissance de nos métiers, de nos professions et de nos pratiques n'a d'égal que le dégout qu'ils éprouvent pour le paritarisme et la démocratie sociale.

COLÈRE ET DÉTERMINATION ! Car nous sommes persuadés que cet accord, s'il est appliqué, va s'attaquer encore une fois aux plus fragiles et aux plus précaires d'entre nous. Car malgré la mobilisation qui monte depuis plus d'un mois et qui a permis, sans aucun doute, d'éviter de finir en charpie, nous avons le sentiment d'un immense gâchis.

COLÈRE ET DÉTERMINATION ! Car nous ne lâcherons pas un iota sur nos revendications. Nous voulons qu'une réforme des annexes 8 et 10 soit mise en discussion sur la base des préconisations du comité de suivi.

La lutte continue.

22 mars 2014

SOYONS RÉACTIFS !!

ASSEMBLÉE GÉNÉRALE 

D'ACTION COLLECTIVE 

RAPIDE ET IMMÉDIATE


LUNDI 24 MARS 

À 11H00 TAPANTES

À LA VERRIÈRE, LILLE

SOYEZ-LÀ À L'HEURE, RAMENEZ VOS PANCARTES ET VOTRE PIQUE-NIQUE !




Clôture des négociations / Samedi 22 Mars


Bonjour à toutes et tous

Cette nuit la CFDT, FO et la CFTC, ont conclu un accord avec les patrons (MEDEF et CGPEM).

vous le trouverez ici :


IL N'EST PAS ENCORE SIGNÉ !
car ces syndicats doivent en référer à leurs bureaux nationaux respectifs pour accord pour pouvoir ce faire. Mais ce n'est qu'une formalité...

Il faut donc faire pression sur le gouvernement 
pour que le ministre du travail (Michel Sapin) ne signe pas cet accord !
Ils n'ont pris en compte aucune de nos revendications,
pourtant plus juste et moins coûteuses !

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Communiqué de la CGT Spectacle

Assurance chômage : des négociations déloyales dans laquelle seule la mobilisation a été exemplaire
Vendredi 21 mars à minuit passé le patronat amené par un MEDEF divisé a posé sur la table des négociations un texte de nouvelle convention régissant les droits à l'assurance chômage des demandeurs d'emploi, travailleurs précaires, intérimaires et intermittents du spectacle.
Alors que plus d'un chômeur sur deux n'est pas indemnisé, le texte comporte un amalgame de droits rechargeables a minima et de reculs aboutissant à une baisse des droits et des économies reposant entièrement sur les demandeurs d'emploi eux même.
Les seuls employeurs mis (lourdement et indistinctement) à contribution sont ceux du spectacle !
Sur les salariés intermittents du spectacle pèsent plusieurs mesures :
l'augmentation de la cotisation va faire perdre presque 1% de salaire net
le plafond mensuel même s'il est élevé
- un différé qui retarde le début de l'indemnisation de plusieurs jours à plusieurs semaines.
L'ensemble de cette séance est un déni de démocratie : de 13h à minuit 15 le MEDEF a négocié avec les futurs signataires sans consulter la CGT , nous les avons vus 1/4h avant la fin pour nous remettre le texte que la CFDT , la CFTC et Fo signeront.
Si les annexes 8 et 10 sont maintenues , grâce à la lutte, les attaques sont dures pour les demandeurs d'emploi, les intérimaires, et les intermittents du spectacle : le patronat économise semble-t-il 400 millions € sur le dos des allocataires. Chiffres imprécis car le directeur de l'UNEDIC a participé de l'enfumage en ne donnant pas les chiffres à toutes les délégations.
Nous continuons de réclamer une vraie négociation sur la base de nos propositions,
Nous dénonçons la déloyauté de ce simulacre de démocratie et la baisse des droits.
Pour toutes ces raisons, nous appelons à continuer la lutte unitairement à Paris comme en régions pour exiger que le gouvernement refuse d'agréer un tel texte.
La lutte continue !

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La coordination des intermittents d'Ile de France occupe depuis hier soir le Carré du Temple à Paris, après avoir quitté l'Opéra Garnier. 


Ils sont encerclé par les forces de police.
Ils appellent à une AG ce matin même à 10h00.

Je vous transmets le message sur leur page :

"A première vue, la population la plus brutalement attaquée par les coupes budgétaires est celle des intérimaires, dont l’immense majorité perdrait, sous prétexte de « droits rechargeables », entre 50 et 300€/mois … l’analyse du document et de ses effets est en cours… à suivre.
Non à l’agrément de la convention UNEDIC par le gouvernement
Assemblée générale ce samedi 22 mars à 10h

Les conditions de négociation et l’accord conclu cette nuit au MEDEF sont scandaleux.
Nous, chômeurs, précaires, intermittents, intérimaires, avec ou sans papiers, appelons à une assemblée générale ce samedi 22 mars à 10h au Carreau du Temple occupé, 3 rue Dupetit-Thouars, Paris 3e, M° République ou Temple.
Il serait inacceptable que le gouvernement donne son agrément à un tel accord.
Précaires sur le carreau."

communiqué des occupants du Carré du Temple :

sur l'occupation de l'Opéra Garnier et les négociations qui ont eu lieu hier :



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Communiqué du MNCP
Nous devons nous mobiliser contre l'agrément !


Mouvement National des Chômeurs et Précaires
Communiqué de presse
Samedi 22 mars 2014

Convention UNEDIC 2014 :
une nouvelle attaque contre les droits des chômeurs !

Vendredi 21 mars, dans la nuit, une majorité de partenaires sociaux
sont finalement parvenus à un accord sur l'assurance-chômage, qui
signifie pour l'ensemble des chômeurs un recul de leurs droits,
contrairement aux promesses de certains syndicats et du gouvernement.
Le Mouvement National des Chômeurs et Précaires demande au
gouvernement de refuser son agrément à ce nouveau recul des droits des
chômeurs, obtenu une nouvelle fois sans les consulter.

Obsédés par le déficit de l'UNEDIC, dû largement au chômage de masse
et aux baisses de cotisations accordées depuis des années aux
entreprises, certains partenaires sociaux ont signé l'accord, se
félicitant d'une économie de 400 millions d'euros : trop peu pour
résorber le déficit de l'UNEDIC, mais satisfaisant pour le patronat
qui n'a concédé aucune nouvelle contribution. En brandissant la menace
de supprimer le régime spécifique des intermittents, toujours menacé,
le MEDEF n'a que mieux détourné l'attention médiatique pour s'en
prendre au régime général, et faire porter le poids du déficit de
l'Unedic sur les plus fragiles, seniors, licenciés, chômeurs
indemnisés et travailleurs précaires.

Les nouvelles règles d'assurance chômage sont inacceptables et les
reculs ne sauraient être occultés par la mise en place des droits
rechargeables et la simplification des règles de cumul
chômage/activité réduite.

Tous les chômeurs verront leur plafond d'indemnisation baisser de
57,4% à 57% du brut, coup de rabot inacceptable !

L'augmentation du délai de carence pour l'obtention des droits à
l'assurance-chômage, à 180 jours (actuellement 75 jours) représente
une atteinte inadmissible aux salariés qui luttent pour leurs droits
aux Prud'hommes.

Les intérimaires vont devoir réintégrer en partie le régime général et
sont privés de leurs maigres contreparties à l'extrême flexibilité de
leur travail et l'irrégularité de leurs revenus.

Les seniors les plus éloignés de l'emploi devront attendre 62 ans pour
obtenir le maintient de  leurs allocations jusqu'à leur départ en
retraite. Ceux de plus de 65 ans, exonérés jusqu'alors de leurs
cotisations, vont devoir contribuer au financement de l'Unedic.

Les intermittents conserveront leur régime, mais avec un plafonnement
de leur allocation mensuelle. Jusqu'à quand les annexes 8 et 10 seront
préservées des attaques du Medef ? Une nouvelle remise à plat est
prévue pour fin 2014 !

Les chômeurs, précaires et intermittents continueront à se mobiliser
pour empêcher l'entrée en vigueur de cette nouvelle convention, prévue
en juillet. Des actions coup de poing sont prévues dès la semaine
prochaine.

Virginie Gorson-Tanguy
Chargée de coordination et communication
Mouvement National des Chômeurs et Précaires (MNCP)
Siège de la fédération : 17 rue de Lancry - 75010 Paris
01 40 03 90 66 - 06 79 91 63 17



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RENDEZ-VOUS POUR UNE AG D'ACTION COLLECTIVE RAPIDE ET IMMÉDIATE

LUNDI 24 MARS À 11H00 À LA VERRIÈRE, LILLE

RAMENEZ VOS PANCARTES ET VOTRE PIQUE-NIQUE.



L'inter-com

21 mars 2014

Communiqué CGT-spectacle 21 mars 2014

FEDERATION CGT SPECTACLE


ASSURANCE CHÔMAGE : ALERTE ROUGE, ÇA DEAL AU MEDEF !



Ce vendredi 21 mars, tout laisse à penser que ça magouille dur en coulisse au siège du Medef à l’occasion de « l’ultime » séance de négociation (celle-ci était initialement prévue hier) sur l’assurance chômage. En effet, la séance qui devait reprendre à 14H30, n’a toujours pas repris à 16H. Selon nos estimations, le Medef ferait globalement 1 milliard d’économies sur le dos des chômeurs. Et d’après certaines sources concordantes le chef de la délégation du Medef s’emploierai à dealer avec la Cfdt pour parvenir à un accord ce soir. 

Pour les annexes 8 et 10, il serait mis en place un plafond – cumul revenus d’activité et allocations chômage - à hauteur du plafond mensuel de la sécurité sociale à savoir 3129 euros bruts. Ce qui est totalement inacceptable !
Si tel était le cas la mise en scène avenue Bosquet serait du plus mauvais goût. Elle ferait fi des fortes mobilisations de ces dernières semaines, d’hier encore dans tout le pays et aujourd’hui aussi comme à Paris.


Les intéressés ne demandent pourtant pas la lune, ils revendiquent une véritable négociation loyale et transparente sur les propositions alternatives au diktat du patronat.

La Fédération Cgt du Spectacle alerte les professionnels du spectacle pour qu’ils restent mobilisés en cas de coup dur. 
Elle met en garde le gouvernement s’il fermait les yeux sur ces procédés antidémocratiques.

Alors que le pays connaît une succession d’affaires nauséabondes qui fait le jeu de l’extrême droite, un simulacre de négociations sur le dos des privés d’emploi serait un nouveau coup dur porté à la nécessaire transparence du dialogue social et plus largement au syndicalisme authentique.

NOUS NOUS NE TAIRONS PAS ! LE GOUVERNEMENT DEVRA PRENDRE SES RESPONSABILITÉS.


Paris, le 21 mars 2014, 16h45.





20 Mars 2014 : Mobilisation Nationale des Intermittents

A LILLE : sit-in sur la Grand Place de 16h à 21h


quelques photos






REVUE DE PRESSE

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Mobilisation nationale des intermittents du spectacle - ...
Nouvelles manifestations des intermittents du spectacle dans plusieurs villes de France ce 20 mars. Ils réclament une réforme du protocole qui régit leur systè...

image
CIP-IDF > Vendredi 21 mars
Coordination des intermittents et précaires d’Île-de-France - Statut des intermittents du spectacle - en lutte contre le protocole Unédic du 26 juin (...)
Aperçu par Yahoo

16 mars 2014

RENDEZ-VOUS LES 18 ET 20 MARS

mardi 18 mars : Rejoignons la manif unitaire: Salaire, Emploi, Protection Sociale, Services Publics

Rendez-vous à 14h30 Porte de Paris (pour nous, devant l'hôtel Gantois)
Montrons notre solidarité avec les chômeurs et précaires dont les droits sont fortement menacés par les syndicats patronaux lors des actuelles négociations UNEDIC.
Ne soyons pas dupe du jeu du MEDEF !
Flashmob et pancartes marqueront notre présence !
Soyons nombreux, soyons visibles !


jeudi 20 mars (jour de la fin des négociations unedic)

SITTING à partir de 16h
place du Général de Gaulle  
Faisons le siège de la grand place !
et jusqu'à la fin des négociations UNEDIC
(certainement au-delà de 22h).

Rassemblement festif, ludique, artistique et instructif
Marquer le paysage urbainChacun prend une chaise, tabouret, pliant, caisse… afin de s'asseoir autour d'un espace central,  une piste sera dessinée à la craie pour créé un espace repéré pour les interventions ludiques, artistiques et instructifs.

Etre visible et montrer notre savoir faire
Alternons prises de paroles et actions artistiques 
sorte de piste ouverte rythmée par l'alternance des genres: musique (fanfares - batucada - solo instrumental…), masques, marionnettes, clowns, chants, slams, danses (solo, duo, groupe…), manif du Medef, flashmob, performances


Pouvez-vous nous confirmer votre proposition d'action artistique par mail sur :  intermittents5962@gmail.com
Si vous avez des contraintes horaires le préciser. 

MERCI À VOUS.

Soyons aussi nombreux que le 12 mars !

FAITES TOURNER L'INFO! 

14 mars 2014

RIPOSTES 4 : Ni Déficit, Ni Surcoût !!

Regardez, partagez, envoyez cette vidéo précise et précieuse pour faire comprendre à tout un chacun la manipulation sémantique dont nous sommes la cible depuis plus de 10 ans, et que tout le monde puisse prendre connaissance (et acte !) de ce qu'est vraiment le régime de l'intermittence !

lien : http://youtu.be/t4W_coIyTO4





...en attendant le MEDEF voudrait accélérer le mouvement, sans doute dans la crainte que notre mouvement ne s'amplifie et prenne trop de place médiatique, voire commence à attirer la sympathie de l'opinion publique !
voir ici :
http://www.rtl.fr/actualites/info/politique/article/intermittents-du-spectacle-le-medef-reclame-des-mesures-rapides-7770382024

Le régime des intermittents n'est pas un privilège

Texte paru dans Le Monde le 28 février 2014.


Les intermittents du spectacle bénéficient-ils d'un régime « privilégié » d'indemnisation du chômage ? On connaît la rhétorique des contempteurs de ce régime : alors qu'ils ne représentent que 3,5 % des allocataires, les intermittents seraient responsables d'un quart du déficit de l'assurance-chômage.

Le hasard fait bien (ou mal) les choses. Car le déficit de 1 milliard d'euros attribué aux intermittents n'a à peu près rien à voir avec le déficit général de l'Unedic (prévu à 4 milliards en 2014). Comme l'a récemment rappelé la Cour des comptes, les intermittents, dont le déficit du régime est très stable, ne sont pour rien dans l'apparition de ce déficit qui s'explique uniquement par l'aggravation du chômage des salariés en CDI et en CDD. Attribuer un quart du déficit de l'Unedic aux intermittents est absurde : ce procédé purement rhétorique vise uniquement àdésigner un bouc émissaire. Pour être juste, il faudrait ajouter qu'un quart du déficit ce n'est pas beaucoup : le budget d'une assurance est fait d'une multitude de déficits d'un côté et d'excédents de l'autre. Par exemple, en 2011, les salariés en CDD représentaient plus de 350 % de déficit de l'Unedic.
Dès lors, on ne peut parler de déficit du régime des intermittents que de manière métaphorique, car il n'existe pas de caisse des seuls intermittents (mais une caisse pour l'ensemble des salariés du privé). Et, dans ce cadre, il est logique que leurs cotisations et leurs allocations ne s'équivalent pas. A moins de revenir sur le principe même d'une assurance solidarisant l'ensemble du salariat à l'échelle interprofessionnelle, il est en effet difficile d'imaginer qu'il puisse en être autrement.
Le régime des intermittents représente-t-il malgré tout un « surcoût » par rapport au régime général ? C'est l'idée qui a émergé, après la publication en avril 2013 d'un rapport parlementaire rédigé par le député (PS) Jean-Patrick Gille. Si on supprimait le régime des intermittents, l'économie réalisée ne serait pas de 1 milliard mais seulement de 320 millions, dans la mesure où une partie des intermittents basculerait au régime général et continuerait de percevoir des allocations.


Depuis lors, le débat est focalisé sur cette somme de 320 millions de « surcoût » : certains en font le nécessaire, mais raisonnable, « prix de la culture ». D'autres (comme les auteurs d'un rapport sénatorial aux recommandations radicales paru en décembre 2013) en font un objectif d'économies à atteindre.

Le Medef, de son côté, s'est saisi de cette opportunité pour demander à l'Etat definancer ce surcoût au titre de sa politique culturelle. Mais ce surcoût existe-t-il vraiment ? On peut en douter. Les intermittents ne coûtent pas plus cher que les autres chômeurs : ces 3,5 % des effectifs indemnisés représentent 3,4 % des dépenses. La mesure du surcoût de 320 millions n'est que l'incarnation comptable de l'idée préconçue selon laquelle les intermittents seraient des privilégiés. Il ne s'agit ni plus ni moins que de quantifier ce « privilège » en se demandant à combien le « coût » des 100 000 intermittents s'élèverait si on les mettait au régime général.
Ce faisant, on confond adaptation du dispositif à l'intermittence de l'emploi et privilège. Pour s'en convaincre, il suffit de faire le raisonnement symétrique : que coûteraient 100 000 chômeurs du régime général si on les basculait dans le régime « privilégié » des annexes VIII et X ? 320 millions de plus ? Certainement pas !
Les plus précaires d'entre eux ne seraient plus du tout indemnisés dans la mesure où les règles d'éligibilité sont beaucoup plus strictes chez les intermittents (507 heures en dix ou dix mois et demi selon qu'ils sont techniciens ou artistes) que dans le régime général (610 heures en vingt-huit mois, soit quelques heures en plus à effectuer dans une période de référence plus de deux fois plus longue)
A l'autre bout de l'échelle, les chômeurs issus d'un CDI (ou d'un CDD long) seraient exclus au bout de huit mois, alors qu'ils peuvent bénéficier, dans le régime général, d'indemnités pendant une durée allant jusqu'à deux ans. Et on sait qu'à huit mois plus de la moitié des chômeurs n'ont pas encore retrouvé d'emploi.
Au final, ces chômeurs seraient donc bien moins lotis dans le régime des intermittents que dans le régime général. Pour une simple raison : le régime général est plus adapté à l'emploi stable, le régime des intermittents à l'emploi intermittent. Mais l'un n'est pas plus coûteux ou privilégié que l'autre. Et les 320 millions ne correspondent à rien d'autre qu'à la menace qu'on fait peser sur les intermittents lorsqu'on suggère de supprimer un régime adapté à leur forme d'emploi.

NOUVELLE LETTRE DE JACK RALITE AU PRÉSIDENT FRANÇOIS HOLLANDE

Lettre datée du 13 mars 2014 adressée au Président François Hollande, sur la situation très difficile de l’actuelle politique culturelle française. 

Monsieur le Président,
Le 13 février dernier nous vous adressions une lettre relative à la situation très difficile de l’actuelle politique culturelle française.
Elle était signée par 157 personnalités représentant tout le monde concerné et exprimant un pluralisme rarement atteint : pluralisme des métiers, des sensibilités, des esthétiques, des territoires, des équipements du plus grand au plus petit, des artistes consacrés ou débutants. A cette diversité culturelle s’étaient ajoutés le monde des chercheurs et les cinq syndicats (CGT, CFDT, FSU, SNSC-UNSA, SUD) du ministère de la Culture.
Ce courrier vous l’avez senti parlait de sens, de conscience, il avait aussi comme dirait Pasolini « le sourire de la véritable espérance ».
Depuis chaque jour, nous recevons des soutiens.
Un mois après les signatures ont afflué et affluent. Beaucoup d’équipements l’ont répercuté auprès de ceux qui les fréquentent et nous sommes aujourd’hui comptables de plus de 6000 signatures.
De plus, nous avons pris connaissance du communiqué des huit grandes organisations culturelles que vous avez reçues le lundi 24 février dernier et nous y avons noté :
« Le Président de la République s’est voulu rassurant face aux difficultés sans précédent que rencontre le secteur. Mais dans l’attente d’engagements plus précis et de décisions concrètes, la profession ne doit pas relâcher sa vigilance ni ses exigences. Les organisations professionnelles appellent donc à rester très mobilisés sur ces enjeux de politiques publiques et d’emploi culturel qui engagent l’ensemble de la vie culturelle de la France ».
C’est pourquoi nous vous adressons aujourd’hui une deuxième liste de 226 signataires, tout aussi pluraliste que dans le premier courrier et qui indique combien est profonde et assurée la revendication d’une véritable politique culturelle corrigeant les manques et les remises en cause d’aujourd’hui qui ne concernent pas seulement des pierres, mais des valeurs humanistes et populaires.
Nous continuerons régulièrement à vous informer de l’ampleur de ce mouvement où commence à circuler l’idée qu’étant donné le bas niveau du budget de la culture, continuer de toucher à ses crédits peut apparaître comme une décision et non comme une impossibilité. On parle de plus en plus de décision d’abandon et il est souhaité que vous en mesuriez bien toutes les conséquences.
Un écrivain a pu dire : « Attention à l’inaccompli, attention aux retards d’avenir ».
Nous vous prions de croire, Monsieur le Président de la République, en notre haute considération et à notre engagement indéfectible pour la culture et la création artistique.

Pour Dominique Blanc, Catherine Tasca et Michel Piccoli.
Jack Ralite –

11 mars 2014

12 MARS EN VUE!

Bonjour cher Inter-Luttants,
Dans le but de construire une action "forte et efficace" lors de la mobilisation du 12 mars,
nous vous donnons rendez-vous ce même jour à 11H Grand place afin de  :

  • répéter le Flash-mobilisation (encadré par Cyril Viallon)
  • répéter le Chant (par Marie-Ange)
  • répartir les masques (confiés par Claire Dancoisne) entre la vingtaine de volontaires qui souhaitent les "chausser" (nous cherchons par conséquent une vingtaine de volontaires)
  • répartir les pancartes et banderoles 
  • inscrire sa fonction sur un gaffeur collé dans le dos
Très important: DRESS CODE HAUT BLANC
Et si vous souhaitez vous entraîner ou si vous ne pouvez être présents à la répétition de 11h voici le lien vers la vidéo de la Choré du Flash-mobilisation:

https://www.wetransfer.com/downloads/949824b5bc9485b62923ad8de9625b6920140310160636/c143babed0bb2e660d77b8d6a5e2ef7920140310160636/61003b

Gardez des forces pour Mercredi.
Bien à vous tous très chers Inter-luttants.